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Je possède encore la notice d’origine et la clé astucieuse qui accompagnait le moteur. Elle permet d’intervenir sur tous les écrous et vis avec un seul outil. |
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Le réservoir n’était déjà plus en cuivre sur ces modèles. Celui-ci n’est pas oxydé et surtout pas percé. Après chaque saison je le repeignais soigneusement. Les traces douteuses sont dûes : -à la longue période de stockage, -à quelques fuites inévitables d’huile du mélange (4%), -à des phénomènes d’électrolyse superficielle bien connus sur ces moteurs qui mélangeaient sans sourciller bien des métaux différents… |
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Le levier d’embrayage qui apparaît ici a été cassé il y a bien longtemps (fonte d’aluminium assez fragile). On embraye malgré tout facilement quoiqu’avec un bras de levier moindre. |
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On voit ici : Le starter (simple volet limitant l’entrée d’air). Le carburateur à flotteur, simplissime avec sa petite pompe d’appel du mélange. Les presses sont de belles pièces de bronze, très jolies quand on nettoie le vert-de-gris. |
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- Le volant magnétique, simple à régler. - La bougie facilement accessible. Ce moteur n’a jamais vu ses pièces importantes démontées (culasse, piston, tringlerie,etc…). Peu utilisé, il n’a jamais fait défaut. |
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British Seagull vantait à l’époque cette hélice à 5 pales et sa très bonne poussée. C’est vrai mais cependant au détriment de la vitesse de pointe. L’huile de ce boîtier doit être périodiquement remplacée, ce qui peut induire des fuites par son bouchon de remplissage en plastique (face avant). Il faut soigner l’étanchéité à ce niveau. |